20 - Les M&M's

Samedi et dimanche 24 et 25 octobre 2020

Atelier décodage des malaises et maladies - Bordeaux

 

Réveil tendu comme la dernière fois que je suis partie faire un atelier à Bordeaux. La peur de ne pas me réveiller à l’heure a très largement écourté ma nuit de sommeil. Je prends la route fatiguée.

Je rejoins deux autres étudiantes à Toulouse et nous voilà toutes les 3 en route vers de nouvelles découvertes!

Cet atelier m’intéresse tout particulièrement parce qu’en bonne peureuse que je suis, je suis flanquée d’un peu d’hypocondrie. Un peu beaucoup en fait.

L’hypocondrie est une copine fidèle. Accrochée. Un peu chiante pour être honnête.

Le weekend s’annonce bien sympa  

La formatrice ouvre l’atelier en nous racontant son histoire personnelle. Il y a une vingtaine d’années, elle découvre ETC à travers un article dans un magazine qui explique que les maladies ont un sens. Et l’auteure de l’article, je vous le donne en mille, c’est Lise Bourbeau.

Elle décide de s’inscrire à l’atelier sur le décodage des maladies, parce que dans son entourage, il y a beaucoup de gens malades. Mais genre vraiment beaucoup. Elle liste sa sœur, son oncle, son frère, son beau-frère et tellement d’autres encore.

Tous malades.

Tous morts.

Je suis sidérée. Je la regarde. Je l’observe. Comment ce bout de femme a survécu à cette vague de décès? Comment est-ce qu’elle s’est remise d’un truc pareil?

Un décès c’est déjà dur à vivre. Deux, ça devient très dur. Mais là, elle en a vécu combien : 5, 6? Plus? Elle a perdu tous ces proches en si peu de temps.

Je ne sais pas ce qu’elle avait à apprendre dans cette vie, mais franchement, il y a eu acharnement là quand même! 

Je suis encore sonnée par son histoire quand elle embraye en nous expliquant que ce n’est pas parce qu’on suit les enseignements d’ETC qu’on ne sera jamais malade. C’est bien dommage, car jusqu’à cette seconde précise, j’avais encore un espoir. 

Par contre, nous dit-elle, grâce à ETC, on saura identifier le message que cherche à nous faire passer le malaise ou la maladie. En clair, le malaise ou la maladie nous dit que notre âme souffre et nous offre une piste de réflexion. On devrait lui dire « merci ».

Je vais attendre avant de dire merci à qui que ce soit. J’ai un côté hypocondriaque, n’oubliez pas : alors j’ai encore un peu de mal avec l’idée qu’un malaise ou une maladie puisse nous rendre service. Je déciderai si le « merci » est vraiment de rigueur à la fin de l’atelier.

 

Malaises et maladies. C’est long à écrire et, en toute franchise, je ne suis pas fan de ces 2 mots. Je les trouve pesants et négatifs. Alors pour la suite de l’atelier, malaises et maladies seront rebaptisés « M&Ms ». Je trouve le sujet de l’atelier moins dramatique d’un coup! Ce weekend, on va parler de « M&Ms » : c’est cool, non? 

Mon égo, à qui les « M&Ms » font toujours aussi peur, sort les pectoraux et me dit que le meilleur plan qu’il soit, c’est encore de ne pas tomber malade! Parce que le fait que les « M&Ms » puissent nous aider lui paraît vraiment bizarre comme principe. Et j’avoue que pour une fois, je suis parfaitement d’accord avec lui. On se serre la main, une première depuis le début de notre cohabitation consciente. 

La formatrice développe en expliquant que le simple fait de se cogner et d’avoir un bleu est un signe de malaise à écouter. En fait, nous dit-elle, quand on se cogne, la Vie nous alerte : elle nous dit que notre âme souffre. Au début, la Vie envoie son message sous forme de petits bobos, mais moins on écoute les messages qu’elle nous envoie, plus les bobos prennent de l’ampleur jusqu’à devenir une vraie maladie. Le seul recourt qu’a la Vie pour nous alerter si on ne l’écoute pas est de taper de plus en plus fort. Bam! 

Je commence à comprendre la logique de tout ça. Je lâche la main de mon égo, et ouvre mes écoutilles, prête à entendre la suite.

Allons-y, décodons les « M&Ms »! 

La formatrice fait un rapide tour du groupe pour savoir ce dont nous souffrons : quand vient mon tour, j’explique que j’ai une sciatique depuis 4 ans. Mais en écoutant les autres lister leurs bobos, je me rends compte que la sciatique n’est qu’un « M&Ms » parmi beaucoup d’autres. J’ai pleeeeeins de bobos. Vraiment beaucoup beaucoup.

D’un coup, je me prends ma réalité en pleine face : mon corps ne va pas bien! J’ai 37 ans et je crois qu’il n’y a pas un seul endroit de mon corps qui ne me fasse pas mal d’une façon ou d’une autre.

J’ai un coup de blues. Je me sens vieille d’un coup. Ratatinée, fripée, abîmée.

Mon âme souffre à ce point ? Après tous ces mois de travail sur moi, il n’y a même pas une petite apparition de Gandhi en moi ?

J’ai une grosse montée de culpabilité. J’ai merdé à ce point avec moi-même ? J’ai oublié de prendre soin de moi et de mon âme à ce point-là ?

Je m’excuse intérieurement auprès de mon corps et lui promets de mieux m’occuper de lui et surtout, de mon âme. 

La formatrice poursuit en nous disant un truc qui ne va vraiment pas me plaire : le stress est une cause importante de « M&Ms ». Je le sais, mais j’ai quand même l’impression de me prendre un coup de massue sur la tête. J’ai peur d’un coup.

Vous ne l’aurez pas oublié, le stress est quand même très présent dans ma vie en ce moment. Et depuis longtemps en fait, puisqu’il avance en couple avec les peurs, et que les copines vivent avec moi depuis toujours.

Je n’aime pas du tout la tournure que prend ce début d’atelier. J’ai peur que mon hypocondrie se développe à un rythme effroyable pendant ces deux jours.

Je respire.

Je respire.

Je ressssssspire. 

Et comme par hasard , pour concrétiser un peu plus le fait que mon corps tout entier n’aille pas hyper bien, nous faisons un exercice. Nous devons lister tous les « M&Ms » que nous trainons depuis l’enfance.

J’aimerais assez voir vos listes, ne serait-ce que pour me rassurer. Je ne suis pas la seule à avoir tout un tas de trucs notés sur ma page, pas vrai ??

Quelqu’un pourrait confirmer que vos pages sont aussi pleines que la mienne svp ?

Parce que quand je regarde ma feuille, j’ai l’impression que mon corps s’est préparé pour la fashion week, défilé automne-hiver. Ma garde-robe est complète, je suis habillée du sol au plafond : deux ongles arrachés aux pieds, mal aux genoux, varices, sciatique à gauche, endométriose, mal au ventre, mal au dos, mal à la poitrine, épaule gauche bloquée, mal aux cervicales, corps flottants à l’œil droit, boutons sur le visage, burn out. Voilà, je suis bien. Habillée du sol au plafond, je vous dis. Et encore, je vous passe les accessoires! 

Là c’est sûr, mon âme ne va pas très bien. Elle aurait préféré éviter la fashion week visiblement.

Moi aussi d’ailleurs. Je ne suis pas une adepte de la mode d’habitude en plus : ce n’était vraiment pas la peine que mon corps se donne tout ce mal. D’autant plus que je ne suis pas certaine que Karl Lagerfeld aurait approuvé ce look. Vraiment, tout ça pour ça.  

Mais alors maintenant que j’ai pris conscience que j’ai 37 ans dans corps de quelqu’un de 90, je fais quoi? La formatrice me donne un début de réponse… Si vous aviez la nostalgie de la phrase sac de nœud, rassurez-vous, vous allez avoir votre dose aujourd’hui.

Parce que oui, là aussi, tout commence par l’acceptation… On y revient, encore, et toujours.

La formatrice explique que ce n’est pas ce qu’on fait ou dit, ou ne disons pas, ou ne faisons pas, qui cause les « M&Ms »; c’est toujours la non-acceptation d’être quelque chose qu’on ne veut pas être et la peur qu’il y a derrière.

Donc, on y revient : « Il est nécessaire d’accepter d’être ce qu’on ne veut pas être pour arriver à être ce que l’on veut être. »

Je n’avais pas dit que je me la ferai tatouer cette phrase ?

Non?

Je vais le faire!

Ça ne rentre pas, c’est dingue! Ce n’est pourtant pas compliqué : ACCEPTATION !! 

Bref, toujours est-il que je comprends que les « M&Ms » sont le reflet d’une accusation intérieure. Et c’est la non-acceptation de l’accusation qui finit par créer les « M&Ms ».

Je suis en train de réfléchir à tout ce dont je m’accuse quand la formatrice prononce mon prénom : « Marie-Julie, tu veux bien faire l’exercice avec moi ? ».

Euh, oui…mais de quel exercice elle parle? J’étais dans mes pensées, occupée à m’auto flageller, et j’ai perdu le fil…

Notez que quand il s’agit de m’accuser mentalement, je n’ai aucun problème à être dans le moment présent : le reste du monde peut tourner sans moi, je suis accaparée toute entière par mes ruminations. Dans ces moments-là, je suis en totale osmose avec mon égo. Et là de suite, le mec s’est déguisé en Madame Irma et est en train de m’envoûter : « Tu as beaucoup beaucoup de défauts et c’est très mal… tout ça va te rendre malade. ». Envoûtée, je vous dis.

Heureusement, la formatrice me ramène à la réalité : « Tu veux bien faire un exercice de décodage de malaise physique avec moi ?

Oui, oui, bien sûr. Tout pourvu que mon égo la ferme!

« Quel est ton malaise actuel? »

La blague : MON malaise actuel? Un seul? Je dirai que MON malaise actuel est d’avoir le corps d’une dame âgée !! Mais si je dois être plus précise, alors je choisis de travailler avec la sciatique.

Me voilà donc lancée : plus que quelques minutes et je vais savoir ce que m’apprend cette sciatique !!

Suspens, suspens !! 

Je sais que tous ceux qui lisent ce blogue et souffrent d’une sciatique voudraient bien savoir ce qu’elle signifie. Comme je vous comprends! Mais le hic, c’est que ce décodage est personnel, donc, il ne s’applique qu’à moi!

Je préfère vous prévenir de suite, quand vous aurez fini de lire ce blogue, vous ne saurez toujours pas ce que vous raconte votre sciatique ni quel message vous envoie la Vie. Pour ça, faites l’atelier sur les « M&Ms » !!  

Bien, maintenant que les choses sont claires, et pour ceux que la vie privée de mes bobos intéresse, voilà ce que j’apprends en faisant l’exercice.

Ma sciatique à elle toute seule m’apprend qu’il serait bon que je me donne le droit d’avoir peur de tout perdre (je tousse) et accepter que je puisse être une ratée (je m’étouffe).

Un début de nausée apparait, mais ce n’est pas fini.

Elle m’apprend aussi qu’il serait bon de me donner le droit d’être diminuée et inquiète.

Voilà.

Bon, à ce stade, j’avoue que je suis pessimiste. Même si j’ai compris la notion d’acceptation, en pratique, j’ai encore un peu de boulot. Alors accepter d’être une ratée, ce n’est pas pour demain.

Je sens que ma sciatique va rester encore un peu. D’autant que ce truc de « ratée » est déjà ressorti lors de l’atelier sur les besoins.

Entre nous, qui accepte d’être une ratée?

Mr BEAN peut-être? Mais c’est sa marque de fabrique à lui : il rate tout et ça l’amuse.

Cela dit, Mr BEAN gagne bien sa vie, alors si j’étais assurée de gagner des millions en étant une ratée, je ferais un effort. Pour ceux que ça intéresse, je postule au poste de « ratée » de manière officielle, mais souvenez-vous que je veux un salaire à 5 chiffres. Et je trouve que ce n’est pas cher payé pour vous divertir à plein temps.  

Je vais réfléchir à cette histoire de « ratée ». Et pour m’aider à réfléchir, la formatrice m’apaise en m’expliquant que « ratée », ce n’est pas mal. Je dois juste accepter que parfois, je puisse rater des choses, parce que je suis humaine…ce truc d’être humaine, j’avoue que j’ai tendance à l’oublier.

Ça ne fera pas de moi une mauvaise personne, ni quelqu’un de nul ou de non méritant. Ça fera juste de moi un être humain qui fait et essaye des choses et ne les réussit pas à tous les coups. Pas de drame à l’horizon. 

Elle me laisse quelques secondes pour méditer là-dessus puis un grand sourire apparaît sur son visage. Elle revient sur le fait qu’il serait bon que je me donne le droit d’avoir peur de tout perdre parce que dans ma situation actuelle où je me sens en totale insécurité, où j’ai une grande peur de manquer, si je refuse de lâcher prise sur cette peur, là c’est sûr, ma sciatique ne va pas s’arranger.

Et c’est très enthousiaste qu’elle me dit que c’est tout bon, la sciatique est vraiment liée à la peur de manquer, c’est écrit dans le livre de Lise Bourbeau. Tout ça est très cohérent! 

Formidable!  

Pour tous ceux qui ont une sciatique et qui me lisent, je suis sympa, je viens quand même de vous donner une piste… vous avez peut-être peur de manquer… 

Pendant que la formatrice continue l’atelier, il se passe un truc. J’ai une apparition. Mon égo. Il a changé. Ce n’est plus la forme toute grise qui se déguise parfois. Maintenant, il m’apparaît sous la forme d’un homme (plutôt bien foutu ), beaucoup trop bronzé pour que ce soit naturel et d’une nonchalance exaspérante. Il a l’air un peu lourd dingue. Il porte un bermuda, des tongs, une chemise hawaïenne qui me fait mal aux yeux et un bob. Mon égo s’est personnifié. Est-ce que ça veut dire qu’il prend moins de place? Plus? Qu’il me fait moins peur? Aucune idée, mais c’est maintenant comme ça qu’il m’apparaîtra. Je décide de l’appeler Bob. Comme son chapeau.

Et j’ai la sensation qu’on va souvent se tirer dans les pattes tous les deux…

Vous savez, c’est un peu comme dans les duos des séries policières américaines : il y a toujours un flic qui est posé, brillant, respectueux (moi) et l’autre, qui est toujours à l’ouest, je-m’en-foutiste au possible et terriblement énervant (Bob).

Bob et MJ : le duo de choc!

Au final, cela dit, c’est toujours en coopérant qu’ils arrêtent les méchants… 

Le soir à l’hôtel, comme souvent après une journée d’atelier, je me couche tôt. Trop fatiguée pour veiller. Je m’endors rapidement et mon sommeil est profond.

Il y a un hic : les murs de l’hôtel sont particulièrement fins.

Je suis réveillée en sursaut par un bruit que je qualifierais de bizarre (le temps de comprendre de quoi il s’agit), puis assez rapidement de dégoutant (une fois que j’ai compris de quoi il s’agit).

Ma voisine de chambre est en train de vomir ses tripes et j’ai droit à la bande-son.

C’est cadeau.

En voilà une qui ferait bien de faire l’atelier sur les « M&Ms ».

Si je n’étais pas en moitié endormie.

Si je n’étais pas en pyjama.

Si ce n’était pas le milieu de la nuit.

Si j’étais de bonne humeur…

… alors, très gentiment, je serais allée toquer à sa porte pour lui proposer de faire un décodage.

Mais là, j’ai envie de dormir et dans le silence le plus total. Merci! 

Malgré la parenthèse « M&Ms » de la nuit, je me réveille joyeuse et pleine d’entrain. Et comble du bonheur, l’atelier commence par une activité que j’adore : la méditation. Alors je m’installe confortablement sur ma chaise, et je visualise mes chakras les uns après les autres, mon corps éthérique. Je me sens bien, détendue, totalement ancrée.

J’aurais pu passer un long moment avec moi-même, mais les bonnes choses ont une fin, et il est temps de revenir à la réalité. Et aujourd’hui encore, la réalité s’appelle « M&Ms ».

On n’en a pas fini avec eux. 

Ce matin, la formatrice va nous parler de trucs hyper « fun » : agoraphobie, Alzheimer, cancers, maladies auto-immunes. Sur la digestion du petit déjeuner, j’ai connu mieux comme sujet de discussion, mais bon, j’écoute quand même attentivement et il y a une raison à ça.

La première est que ça m’intéresse, évidemment, sinon je ne serai pas là. Mais il y en a une autre.

Vous vous souvenez de l’atelier sur les peurs, celui où j’avais dit que « ouf, je ne suis pas agoraphobe » et où la formatrice avait dit « ceux qui croient qu’ils ne sont pas agoraphobes, faites attention, il se peut que votre égo vous balade ».

Vous y êtes, ça vous revient ?

Bon, il se peut que je sois un peu agoraphobe, finalement. Ça m’embête de l’admettre parce que ma liste de « M&Ms » se rallonge mais comme « il est important d’accepter d’être ce que l’on ne veut pas être pour être ce que l’on veut être », alors sans dire que j’accepte d’être agoraphobe (un tout petit peu !!), je décide que c’est déjà un pas en avant de l’admettre. 

Parler des « M&Ms », c’est super, mais ce qui serait encore plus super serait de savoir comment on les gère. Parce que je veux bien dire merci à la Vie, à mon corps, à qui vous voulez de m’envoyer des messages, mais j’aimerais être sûre qu’une fois les messages reçus et compris, ils ne laissent pas de trace dans mon organisme.

Alors ?? On fait quoi?

On respire! Toujours, toujours, on respire!

Et puis on retient qu’on est malade parce qu’on ne se donne pas le droit. Or, c’est important de se donner le droit d’avoir et de faire ce qu’on veut, et d’être qui on veut.

Donc il faut s’occuper de son JE SUIS.

Et pour s’occuper de son JE SUIS, il faut… ?? Il faut… ?? … être RESPONSABLE! Reprenez l’atelier sur la culpabilité, je ne vous réexplique pas toute l’histoire sur la responsabilité. J’accepte d’être flémarde.

Et pour prévenir les « M&Ms », il y a quelques autres trucs à faire, mais, je viens de vous le dire, je suis flémarde, alors…

… la journée se poursuit et j’apprends plein de choses intéressantes au sujet des « M&Ms » que vous apprendrez aussi quand vous ferez l’atelier. Je trouve que je vous donne déjà beaucoup d’infos sur ce qui se dit pendant cette formation, beaucoup plus que si Jean-Pierre avait autorisé la publication du « Livre nu ». Alors, la vieille dame bienveillante que je suis vous laisse l’opportunité de découvrir les choses par vous-même. Pure gentillesse. Je fais attention à mon karma.

Notez : je suis pleine de sagesse. C’est vraiment le seul avantage à vivre dans le corps de quelqu’un de 90 ans. 

Et j’allais oublier… je décide de dire « merci ».

La Vie m’envoie des messages; mon corps me les transmet. Merci à eux.

Je vais les écouter maintenant. Tant que je n’ai pas rajouté « sourde » à ma longue liste de bobos, je vais en profiter! 

« La maladie est un rendez-vous d’amour avec soi-même ». La formatrice

Je vous laisse, j’ai un rendez-vous galant!

Cliquez ici pour lire la suite : 21 - Dans ma vie

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